J'ouvris lentement les yeux, en clignant des yeux le sommeil. Le bruit qui m'avait réveillé était la fermeture de la porte de la chambre de Pauline.

Je me suis souri, car je savais exactement ce que cela signifiait: Matt, le petit ami de Pauline, était parti travailler. Je me suis frotté les yeux et j'ai roulé sur mon ventre (bien que le fait que mes seins soient maintenant en dessous de moi, étant pressé par mon poids contre le lit, était bien plus visible). C'est alors que j'ai réalisé à quel point j'étais excitée ce matin. J'ai décidé d'aller déranger Pauline ...

C'était vers la fin de ma première année à l'université. Pauline et moi n'avions découvert que récemment nos défauts mutuels, mais elle n'avait pas encore eu le temps d'en parler à son petit ami. C'est pourquoi nous avons profité de chaque occasion pour profiter de la compagnie de chacun. Nous étions dans les résidences universitaires - Pauline et moi avions des chambres au même étage, dans le même couloir. J'ai rapidement enfilé ma robe sur mon corps nu et attrapé les clés de ma chambre. Une brève vérification du couloir montra que la côte était dégagée et je me précipitai vers la porte de Pauline. Je me suis souri quand je l'ai trouvé déverrouillé.

J'ai lentement ouvert la porte et j'ai vu sa forme sous la couette froissée, sa poitrine se soulevant et tombant alors qu'elle respirait. Je me dirigeai vers le lit sur la pointe des pieds et me demandai comment j'allais la réveiller. Et puis j'ai eu une merveilleuse idée. Je me suis déplacée dans sa garde-robe et j'ai trouvé la grande boîte en carton, à l'intérieur de laquelle elle gardait notre collection de «jouets». Après une rapide fouille, j'ai sorti une paire de menottes, un col en cuir noir et un petit cadenas. Je sortis de ma robe et m'assis sur le bord du lit, de l'autre côté de la forme endormie de Pauline.

J'ai fermé le col autour de mon cou, m'assurant que les boucles métalliques pour le fixer étaient à l'arrière. J'ai ramassé les menottes et les ai posées contre l'arrière du col, puis j'ai enfilé le cadenas à travers les boucles et la chaîne des menottes. J'ai fermé le cadenas ... sans la clé, je ne pourrais pas retirer le collier.

Les menottes pendaient du col maintenant, froides contre mon dos nu. Pendant un moment, je me suis demandé où se trouvait la clé du cadenas ... et où se trouvait également la clé des menottes. Mais je savais que Pauline saurait où ils étaient - elle est très organisée. Je suis monté dans le lit à côté d'elle, pas assez près pour toucher sa peau nue. J'espérais qu'elle bougerait et me trouverait, attachée sans défense à côté d'elle, prête à être utilisée et maltraitée ...

J'ai pris une profonde inspiration, j'ai fermé les yeux et j'ai déplacé mes mains à l'arrière de mon cou. J'ai trouvé les menottes et les ai fermées autour de mes poignets, me délectant de la sensation d'impuissance totale. Je pouvais déjà sentir mes mamelons durcir contre la couette, mais maintenant que mes mains étaient liées au fond de ma gorge, je ne pouvais rien faire pour les stimuler davantage. Et quant aux autres parties de mon corps qui devenaient de plus en plus excitées ...

J'ai poussé un petit soupir de surprise quand une main a trouvé mon ventre nu. Alors que la main remontait lentement le long de mon corps, je me souris - mon plan fonctionnait. Il remonta le monticule de mon sein droit, le prenant doucement. J'ai gémi très doucement en sentant mon mamelon dur être saisi entre le pouce et l'index mais, en baissant les yeux, tout ce que je pouvais voir était une couette.

La main s'est déplacée vers mon autre sein, et un mouvement de couette a été suivi par la merveilleuse sensation de lèvres sur mon mamelon droit ... suivi d'un léger frottement des dents et d'une touche de langue au début de la succion. Mais j'ai alors ressenti quelque chose que je ne m'attendais pas à ressentir - du chaume facial. Je ne me souvenais pas que Pauline avait mentionné qu'elle allait se faire barbe ... Malheureusement, mes processus mentaux étaient quelque peu ralentis par la combinaison de somnolence et d'excitation,

Quand j'ai entendu la porte se fermer plus tôt, ce devait être Pauline qui partait pour une raison quelconque. Ce qui signifiait que la personne avec qui je partageais maintenant un lit était son petit ami, Matt. Même si j'avais souvent rêvé de le laisser participer aux jeux que j'avais avec Pauline, je n'avais jamais pensé que cela arriverait réellement. Et que dirait Pauline? J'ai dû arrêter ça, tout de suite ... mais alors un seul doigt s'est frayé un chemin dans l'humidité chaude et attendue de ma chatte et ma ferme résolution s'est dissoute.

J'ai gémi de plaisir quand un autre doigt a pénétré en moi. Les lèvres de Matt ont continué à sucer, alternant entre mes mamelons ... J'ai cambré mon dos avec extase et à ce moment il a poussé ses doigts à l'intérieur de moi, caressant mes parois intérieures, et son pouce a trouvé mon clitoris ... J'ai gémi à haute voix comme mon tout le corps a succombé à un merveilleux climax frissonnant.

"Mmmm, Pauline, ça vous a plu?" Demanda Matt, tirant la couette loin de lui.

"Euh ..." était tout ce que je pouvais dire, face à son expression de choc complet.

"Laura! Que diable se passe-t-il?"

"Je pense qu'il y a eu un léger malentendu", marmonnai-je, souhaitant pouvoir couvrir ma nudité.

"Je vais dire! C'est quoi tout ça? Menottes? Attends juste que j'en parle à Pauline!"

"S'il te plait! Ne lui dis pas! Elle va me tuer! Je ne savais pas que c'était toi!"

"Tu ne savais pas que c'était ... alors qui ...? Oh. Pauline. Que faites-vous tous les deux quand je ne suis pas là?"

Je rougis abondamment en voyant l'aube se réaliser.

"Elle nous tuera tous les deux si elle le découvre!" Dis-je, espérant détourner son esprit du sujet.

"Elle va nous tuer tous les deux? Eh bien, si nous sommes ensemble ... et si nous allons tous les deux être tués ... ce n'est pas juste que vous vous amusiez et je ne l'ai pas ... . En fait, les preuves semblent vous blâmer, ce qui est de votre faute ... "

Je pouvais voir où cela allait. Je pourrais peut-être écarter un peu le blâme ...

"D'accord," souris-je, "si vous" appréciez "cette expérience, nous serions tous les deux en faute?"

L'énorme sourire sur son visage était toute la réponse dont j'avais besoin. Je scintillai sur le lit, jusqu'à ce que mon visage soit au même niveau que son entrejambe. Il a mis ses mains sur mes épaules et m'a éloigné du lit, alors j'étais à genoux devant lui. Je ne m'arrêtai que brièvement, me disant que je n'avais jamais rien fait de tel alors que j'étais lié de cette façon. Mais je n'ai pas eu le temps de réfléchir, car Pauline pouvait être à la maison à tout moment.

J'ai léché mes lèvres et je me suis rapproché de sa bite déjà dure. Juste ma proximité avec elle semblait la faire grandir, mais j'ai décidé de l'aider avec de gros coups de langue longs et lents de la base à la tête, comme si je léchais une sucette. Je l'ai ensuite lentement pris dans ma bouche, ma langue tourbillonnant et jouant, m'assurant de stimuler les parties les plus sensibles. J'ai senti sa main sur l'arrière de ma tête, me guidant pour le prendre plus profondément - j'ai suivi ses conseils, le suçant dans ma bouche avant de reculer, laissant mes dents frôler doucement le long de la face inférieure de son sexe. Le halètement que j'ai entendu de lui a indiqué que je faisais la bonne chose.

Je l'ai repris à fond, suçant plus fort, mais maintenant j'avais très peu de contrôle sur ce qui se passait. Il avait ses mains sur l'arrière de ma tête et enfonçait sa queue palpitante profondément dans ma bouche, plus fort, plus vite, nous cédant tous les deux à la passion. Je l'ai agrippé avec mes dents et toute ma tête a semblé palpiter avec lui alors qu'il atteignait rapidement le point de l'orgasme ... Je m'écartai un peu, afin de pouvoir avaler la marée de sperme qui coulait dans ma bouche. Il se retira de moi, l'air très satisfait, tandis que je léchais quelques gouttes perdues de mes lèvres.

"Wow," me sourit-il en s'appuyant sur le lit.

"Je suis content que tu t'es amusé," répondis-je, "maintenant nous sommes peut-être même."

Il était sur le point de répondre quand il fut interrompu par le bruit de la porte principale du couloir qui était déverrouillée. Il y avait de fortes chances que ce soit Pauline, et nous le savions tous les deux. Il m'a regardé et je l'ai regardé, et nous y étions figés dans un bref moment de panique partagée. J'ai récupéré en premier, assez pour tirer sur les menottes qui attachent mes poignets à l'arrière de mon cou.

"Où sont les clés?" demanda-t-il, rapidement et doucement.

"J'espérais que Pauline saurait ..." répondis-je.

"Dans ce cas, tu ferais mieux de te cacher!" siffla-t-il en entendant les pas de Pauline s'approcher de la porte.

Ses yeux et les miens allèrent dans la garde-robe - c'était le seul endroit convenable. Il m'a aidé à me relever et à rentrer dans la garde-robe - c'était un peu difficile de partager cette garde-robe avec tous ces vêtements. Il me sourit en fermant la porte, puis j'étais dans l'obscurité à part une minuscule fente de lumière provenant du trou de la serrure.

"Je pensais que tu allais m'attendre au lit," dit Pauline en se promenant dans la pièce.

"Je l'étais, mais j'ai trouvé ça dans ta garde-robe," répondit Matt.

J'ai trouvé que si je m'abaissais lentement, soigneusement, je pouvais voir à travers le trou de la serrure dans la pièce. Matt pointait la boîte en carton sur le sol, qui contenait notre collection de jouets.

"Oh, je peux expliquer ça ..." dit Pauline, visiblement gênée.

"Pas besoin d'expliquer," sourit Matt, "tout ce que tu as à faire est de te déshabiller."

J'ai haussé les sourcils à ce commentaire. Matt venait juste de jouir - il ne pouvait sûrement pas recommencer, si rapidement. Mais il semblait qu'il avait pleinement l'intention de faire quelque chose dans ce sens. Pauline était maintenant nue et allongée sur le lit à côté de Matt. Il tenait deux paires de menottes et les a attachées à la tête de lit. Il guida doucement Pauline sur son ventre et tendit ses mains vers la tête de lit, claquant les poignets autour de ses poignets. Elle le regarda, souriant, les yeux pleins d'amour et de luxure.

Je commençais à être plutôt excité par ce voyeurisme, mais je ne pouvais rien y faire. Mes mains étaient toujours liées et je ne pouvais pas atteindre les zones de mon corps qui devaient être atteintes. La seule chose que je pouvais faire était d'appuyer doucement mes mamelons contre la porte de l'armoire, et j'espère qu'elle ne s'ouvrait pas ...

Matt mit une de ses mains sous le ventre de Pauline. Sa main remonta jusqu'à ce qu'elle soit sous ses seins, et un gémissement de plaisir s'échappa de ses lèvres alors qu'il jouait doucement. Je ne pouvais pas voir exactement ce qu'il faisait, mais si c'était quelque chose comme ce qu'il m'avait fait plus tôt ... alors Pauline était dans un enfer d'orgasme. Son autre main était sur son dos, et il laissa ses doigts courir sur les courbes de ses fesses. Elle haleta de surprise quand il lui donna une fessée.

"C'est pour garder ces jouets secrets", dit-il, et elle le regarda.

Il la fessa à nouveau et son regard se transforma en un sourire, alors il lui donna une fessée plus dure. Elle se tordait sur le lit maintenant, gémissant doucement, frottant ses seins contre sa main, ses jambes bougeant apparemment de leur propre gré. Et puis sa main a trouvé la zone entre ses jambes qui devenait plutôt humide. La même zone entre mes jambes était vraiment trempée ...

Il enfonça son pouce profondément en elle, utilisant ses autres doigts pour la saisir étroitement. Il a utilisé ses jambes pour rapprocher ses jambes, alors elle a été f o r c é e de saisir son pouce en elle. Je ne pouvais pas voir ce qu'il avait fait ensuite, mais cela a produit une longue série de gémissements et de halètements ... et le corps de Pauline a frissonné en arrivant. Je me suis penché en arrière dans la garde-robe, tellement chaud et excité et frustré sexuellement! J'ai fermé les yeux, mais je n'ai pas pu atteindre l'orgasme avec des pensées sexy seules. Quand j'ai rouvert les yeux, Pauline et Matt étaient partis.

Il était temps de bouger. J'ai poussé contre la porte de l'armoire et je me suis juré quand j'ai découvert que je ne pouvais pas l'ouvrir. J'étais coincé! Je n'ai pas eu longtemps à paniquer, cependant, depuis que j'ai entendu la porte de la chambre s'ouvrir et quelqu'un traverser vers l'armoire. La porte était ouverte et j'ai été très surprise de voir Pauline se tenir devant moi. J'ai été encore plus surpris quand j'ai vu qu'elle n'était pas surprise.

"Vous avez été une vilaine fille", a déclaré Pauline, m'aidant à sortir de la garde-robe, "Matt m'a tout dit."

"Je suis désolé, c'était tout un gros malentendu ..." dis-je.

"Ensuite, nous devrons nous assurer que cela ne se reproduise plus."

"Que voulez-vous dire?"

"Les clés de votre liberté sont dans la cuisine commune ... cachées. Tout ce que vous avez à faire est de les trouver."

"Comme ça?" J'ai demandé, incrédule, "La cuisine est presque constamment utilisée! Et si on me voit?"

"Vous auriez dû y penser avant de vous lancer dans ce pétrin," sourit Pauline, me conduisant à la porte.

"Mais..."

J'ai été interrompue par le bruit de Pauline fermant la porte derrière moi.

"Et ne reviens pas avant d'avoir les clés!" elle m'a appelé.

Et j'étais là, debout dans le couloir, complètement nue. Lié pour que je ne puisse même pas couvrir ma nudité ... et inquiet de ce qui se passerait si quelqu'un me trouvait ...

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